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“Les sources aveyronnaises de la limonade parisienne. Sociologie historique d’une forme sociale et entrepreneuriale”, tel est le titre de la thèse soutenue par Sofian Bouchfira, désormais “docteur en histoire” selon la proclamation du jury le 19 décembre dernier.
En cette année 2024, où nous commémorons les 110 ans des débuts de la Grande Guerre, nous avons souhaité rappeler ici les premiers combats que soutint, en 1914, le 122e régiment d’infanterie, régiment aveyronnais.
Alors que de nombreux enfants ont déjà envoyé leur courrier au Père Noël ou se préparent à le faire, nous nous penchons aujourd'hui sur les origines de ce personnage qui, au fil du temps, est devenu universel. Ce faisant, nous serons amenés à parler de saint Nicolas qui fut, en quelque sorte, le “prototype” du Père Noël, car lui aussi distribuait (et continue à distribuer) des cadeaux aux enfants sages. Et si le Père Noël s’est substitué à saint Nicolas pratiquement partout, ce dernier est toujours fêté dans quelques pays d’Europe (comme la Belgique) et dans le nord-est de la France.
Alors que la ville de Pigüé s'apprête à fêter le 140e anniversaire de sa fondation, le 4 décembre, il est temps d’achever le portrait de Clément Cabanettes débuté il y a un an.
L’année 2024 aura été l’occasion de rappeler de nombreux événements survenus il y a 80 ans, soit en 1944, période qui vit l’Allemagne nazie reculer sur tous les fronts de guerre.
Le général de Castelnau largement cité dans le message ministériel du 11 novembre : on le doit à Jean-Louis Thiériot, ministre délégué au ministre des Armées et auteur d'un ouvrage sur le général sorti le 14 novembre. L'auteur y évoque aussi bien le militaire que le leader catholique de l'entre-deux guerres, et le précurseur du Gaullisme que fut le général de Castelnau. Pascal Cazottes nous livre ici sa fiche de lecture.
Dans ce cinquième et ultime épisode, nous allons rester à Saint-Côme-d’Olt, cité médiévale qui conserva des liens très étroits avec la famille de Curières de Castelnau, puisque cette dernière posséda pendant longtemps le château situé au cœur de la cité médiévale, qui abrite aujourd'hui la mairie.
Dans ce quatrième épisode, nous allons rappeler le rôle primordial que joua le général de Curières de Castelnau au début de la Grande Guerre, ayant notamment remporté, coup sur coup, deux victoires d’une importance capitale : celle de la Trouée de Charmes et celle du Grand Couronné.
Ce troisième épisode est consacré à la famille du général de Curières de Castelnau, l’une des plus anciennes et des plus prestigieuses du Rouergue. Portant, à l’origine, “de Curières” comme seul nom, c’est bien plus tard que les représentants de cette maison ajouteront les mots “de Castelnau” à la suite de leur premier patronyme.
Dans ce deuxième épisode, nous allons brosser le portrait du général Édouard de Curières de Castelnau, un portrait physique, tout d’abord, qui sera suivi de quelques évocations de son comportement (digne d’éloges) vis-à-vis des hommes placés sous son commandement. C’est ainsi que nous découvrirons un général particulièrement soucieux du bien-être de ses soldats.
Il y a quelques années déjà, nous faisions découvrir à nos lecteurs le général de Curières de Castelnau en rappelant brièvement sa vie. Aujourd’hui, l’actualité nous amène à reparler de ce personnage.
Aujourd’hui, nous allons évoquer un officier de grand mérite : le général Sébastien Viala dont le parcours glorieux n’est pas sans rappeler celui du colonel Higonet. Engagé, comme ce dernier, en 1792, dans le 2e bataillon de volontaires de l’Aveyron, le général Viala se battra en Italie, en Égypte et en Allemagne, montrant, dans tous les combats qu’il eut à mener, un courage indéfectible et une valeur militaire indiscutable.
Dans ce dernier épisode consacré aux céramiques sigillées de la Graufesenque, nous allons évoquer une conséquence due à la production massive desdites céramiques, la déforestation des causses environnants, ainsi que l’exportation de nos poteries rouergates et des artisans potiers de la Graufesenque.
Dans le précédent épisode, nous avons vu que les fouilles entreprises à la Graufesenque permirent de mettre au jour de nombreuses poteries et autres moules. Mais les archéologues dégagèrent également des vestiges de maisons, de sanctuaires et, bien évidemment, de fours. Toutes ces découvertes, sans oublier celles d’assiettes sur lesquelles avait été gravé par les potiers eux-mêmes le détail de leurs tâches, facilitèrent assurément le travail des spécialistes lorsqu’il s’est agi de percer les secrets de la vaisselle sigillée.