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L’année 2024 aura été l’occasion de rappeler de nombreux événements survenus il y a 80 ans, soit en 1944, période qui vit l’Allemagne nazie reculer sur tous les fronts de guerre.
Le général de Castelnau largement cité dans le message ministériel du 11 novembre : on le doit à Jean-Louis Thiériot, ministre délégué au ministre des Armées et auteur d'un ouvrage sur le général sorti le 14 novembre. L'auteur y évoque aussi bien le militaire que le leader catholique de l'entre-deux guerres, et le précurseur du Gaullisme que fut le général de Castelnau. Pascal Cazottes nous livre ici sa fiche de lecture.
Lundi 11 novembre, comme dans presque tous les villages de France, ont eu lieu les cérémonies de commémoration de l'Armistice du 106e anniversaire de l’armistice du 11 novembre 1918. à Saint-Côme, l'hommage rendu chaque année à la famille de Curières de Castelnau prenait un sens particulier, le ministre des Armées ayant largement cité dans son message le général originaire de Saint-Côme.
Dans ce cinquième et ultime épisode, nous allons rester à Saint-Côme-d’Olt, cité médiévale qui conserva des liens très étroits avec la famille de Curières de Castelnau, puisque cette dernière posséda pendant longtemps le château situé au cœur de la cité médiévale, qui abrite aujourd'hui la mairie.
Dans ce quatrième épisode, nous allons rappeler le rôle primordial que joua le général de Curières de Castelnau au début de la Grande Guerre, ayant notamment remporté, coup sur coup, deux victoires d’une importance capitale : celle de la Trouée de Charmes et celle du Grand Couronné.
Ce troisième épisode est consacré à la famille du général de Curières de Castelnau, l’une des plus anciennes et des plus prestigieuses du Rouergue. Portant, à l’origine, “de Curières” comme seul nom, c’est bien plus tard que les représentants de cette maison ajouteront les mots “de Castelnau” à la suite de leur premier patronyme.
Dans ce deuxième épisode, nous allons brosser le portrait du général Édouard de Curières de Castelnau, un portrait physique, tout d’abord, qui sera suivi de quelques évocations de son comportement (digne d’éloges) vis-à-vis des hommes placés sous son commandement. C’est ainsi que nous découvrirons un général particulièrement soucieux du bien-être de ses soldats.
Il y a quelques années déjà, nous faisions découvrir à nos lecteurs le général de Curières de Castelnau en rappelant brièvement sa vie. Aujourd’hui, l’actualité nous amène à reparler de ce personnage.
Aujourd’hui, nous allons évoquer un officier de grand mérite : le général Sébastien Viala dont le parcours glorieux n’est pas sans rappeler celui du colonel Higonet. Engagé, comme ce dernier, en 1792, dans le 2e bataillon de volontaires de l’Aveyron, le général Viala se battra en Italie, en Égypte et en Allemagne, montrant, dans tous les combats qu’il eut à mener, un courage indéfectible et une valeur militaire indiscutable.
Dans ce dernier épisode consacré aux céramiques sigillées de la Graufesenque, nous allons évoquer une conséquence due à la production massive desdites céramiques, la déforestation des causses environnants, ainsi que l’exportation de nos poteries rouergates et des artisans potiers de la Graufesenque.
Dans le précédent épisode, nous avons vu que les fouilles entreprises à la Graufesenque permirent de mettre au jour de nombreuses poteries et autres moules. Mais les archéologues dégagèrent également des vestiges de maisons, de sanctuaires et, bien évidemment, de fours. Toutes ces découvertes, sans oublier celles d’assiettes sur lesquelles avait été gravé par les potiers eux-mêmes le détail de leurs tâches, facilitèrent assurément le travail des spécialistes lorsqu’il s’est agi de percer les secrets de la vaisselle sigillée.
Le musée de la ville de Millau, connu sous le nom de “Musée de Millau et des Grands Causses”, possède une impressionnante collection de céramiques sigillées datant des Ier et IIe siècles de notre ère, lesdites céramiques présentant cette particularité d’être de couleur “rouge vernissée” et, bien entendu, de porter la marque, l’estampille ou le sceau (sigillum en latin) de leur fabriquant. Or, ces nombreux artéfacts proviennent d’un site archéologique situé à seulement deux kilomètres au sud de Millau : le site de la Graufesenque.
S’il est habituel de rappeler l’existence de ces Aveyronnais célèbres qui, par leur talent, ont su se hisser au sommet de la gloire, à l’instar du poète Charles de Pomairols, de la cantatrice Emma Calvé, de l’entomologiste Jean-Henri Fabre ou encore du général Edouard de Curières de Castelnau, on oublie trop souvent de rendre hommage à ces historiens qui, maniant la plume avec habileté, se sont efforcés de perpétuer la mémoire de nos glorieux compatriotes. C’est assurément le cas de Bernard Combes de Patris, historien, essayiste et critique, qui, malgré un exil parisien de plus de trente années, n’oublia jamais son Rouergue natal, principale source d’inspiration de ses écrits.
Alors que le niveau scolaire ne cesse de dégringoler en France, faisons un retour dans le passé pour rappeler cette époque bénie où notre pays occupait la première position mondiale pour la qualité de son enseignement.