Retrouvez les actualités de Viadène avec le Bulletin d'Espalion
Quelle mouche pousse notre gouvernement à détruire ce que nous avons de plus cher : “les remboursements santé” ?
C’est une grossière erreur d’entendre prononcer les mots “folkore” ou “patois”, comme si nos traditions (chants, danses, langues, musiques, etc.)… n’étaient plus d’actualité !
Alors que de nombreux enfants ont déjà envoyé leur courrier au Père Noël ou se préparent à le faire, nous nous penchons aujourd'hui sur les origines de ce personnage qui, au fil du temps, est devenu universel. Ce faisant, nous serons amenés à parler de saint Nicolas qui fut, en quelque sorte, le “prototype” du Père Noël, car lui aussi distribuait (et continue à distribuer) des cadeaux aux enfants sages. Et si le Père Noël s’est substitué à saint Nicolas pratiquement partout, ce dernier est toujours fêté dans quelques pays d’Europe (comme la Belgique) et dans le nord-est de la France.
Alors que la ville de Pigüé s'apprête à fêter le 140e anniversaire de sa fondation, le 4 décembre, il est temps d’achever le portrait de Clément Cabanettes débuté il y a un an.
L’État vient de mettre en place des radars qui contrôlent toutes les infractions que vous pouvez commettre lorsque vous êtes au volant… même avec une cagoule ?
Si la Citroën Mehari a connu le succès dès sa sortie en 1968, ce n’est pas le cas de sa cadette d’un an, la Renault 4 Plein Air, considérée comme un échec commercial de la marque. Elle a pourtant un charme fou, et des amoureux, comme Jean-Paul Azémar, qui vient de terminer la restauration de ce torpedo de collection.
«Qual met son argent en abelhas, Risca de se gratar… las aurelhas»
La culture d’Oc s’est maintenue dans notre Région. Il en est de même pour l’agriculture et l’apiculture. Mais toutes trois ont grand besoin de soutien, aussi est-il de notre devoir de rester unis et de soutenir leurs activités pour qu’elles perdurent.
La fondation. Clément Cabanettes est arrivé à ses fins : après avoir trouvé des terres à peupler dans la Pampa argentine, il a rassemblé, avec l’aide de François Issaly et de François Gay, 160 volontaires à l’expatriation, dont 40 familles. Le 25 octobre 1884, ils embarquent à Bordeaux pour une traversée de 38 jours.
Mars 1884. Le potentiel agricole et humain de la jeune république Argentine a révélé Clément Cabanettes à lui-même, et l’aventurier s’est mué en meneur d’hommes. Une étape importante de l’aventure colonisatrice aveyronnaise fut la rencontre avec François Issaly. Ce dernier, reparti chercher sa famille en Rouergue, est devenu le bras droit de Cabanettes pour recruter les candidats au départ.