Retrouvez l'actualité sur patrimoine avec Bulletin d’Espalion
À la croisée de l’histoire, du patrimoine et des paysages verdoyants, le village d’Estaing attire chaque année des milliers de visiteurs. Classé parmi les Plus Beaux Villages de France, il déploie ses charmes entre pierres blondes, ruelles pavées et art de vivre aveyronnais.
Classé parmi les “Plus beaux villages de France”, Sainte-Eulalie-d’Olt déroule ses ruelles pavées et ses maisons fleuries au bord du Lot, dans un décor de carte postale, à une encâblure de Saint-Geniez. Derrière ce charme paisible se cache un riche passé médiéval, une vie locale bien vivante et une place de choix dans la dynamique touristique et culturelle de la vallée.
Ainsi qu’il a été évoqué dans le précédent épisode, la commanderie de Lacapelle-Livron avait l’aspect d’un manoir fortifié formant une sorte de quadrilatère avec cour intérieure. Aujourd’hui, il ne reste plus que deux ailes (affectées à l’habitation) et l’ancienne chapelle (devenue église paroissiale) dont une partie non négligeable de la construction est due aux Templiers.
Dans ce premier épisode consacré à la commanderie templière de Lacapelle-Livron, nous allons rappeler l’histoire de cette commanderie, qui vit le jour vers la fin du XIIe siècle en un endroit qui appartint au Quercy et qui dépend aujourd’hui du département du Tarn-et-Garonne. Ce n’est que dans le second épisode que nous nous attacherons à décrire ses bâtiments, nous attardant plus particulièrement sur l’ex-chapelle templière devenue, depuis, l’église paroissiale Saint-Sauveur.
Développeur de patrimoine. L'Aveyronnais Grégory Alary, développeur informatique spécialisé dans les applications pour mobiles, est également féru d'histoire et de patrimoine. C'est à la croisée de son métier et de cette passion qu'est née Carte du Patrimoine, une application mobile qui recense géographiquement les monuments historiques de France où que vous vous trouviez.
Sur la commune de Caylus (Tarn-et-Garonne) se trouve le vallon de Livron qui, outre son aspect féerique (avec sa grotte, ses rochers et ses frondaisons épaisses), a vu l'édification d'au moins deux édifices religieux et l'instauration d'un pèlerinage basé essentiellement sur une légende et l'apparition d'une source (sous la pioche des terrassiers) aux effets salutaires.
Un échafaudage a été installé lundi sur les marches de l'église. Il n'est pas destiné à effectuer des travaux de réfection, mais à étudier le portail — qui sera débarrassé de la végétation qui l'envahit —, en vue de sa réfection. Une opération qui entre dans le cadre d'un «projet global» incluant la toiture de la nef et, bien entendu, la restauration de la structure du clocher.
Nous partons aujourd’hui à la découverte d’un village d’origine médiévale — celui de Lagarde Viaur — qui, pour se trouver dans le département du Tarn, n’en est pas moins très proche de l’Aveyron, puisque seule une rivière (le Viaur) l’en sépare. Ce faisant, nous nous attarderons sur son église, fort intéressant édifice qui a bénéficié des services du peintre Jacques Bosia, cet artiste descendant d’une vieille famille italienne dont nous avons déjà eu l’occasion de parler dans ces mêmes colonnes.
Dans ce deuxième épisode, nous allons rappeler le parcours d’Étienne Poulenc, frère de Joseph, qui suivit la voie tracée par son aîné, et évoquer sa succession.
Dans ce premier épisode consacré à la famille Poulenc, nous allons nous pencher sur les origines espalionnaises des Poulenc et rappeler le parcours d’un de leurs membres les plus célèbres : Joseph Poulenc.
Après nous avoir fait découvrir la réussite toulousaine de Pierre Delpech, et comment il a mis le pied à l'étrier dans la ville rose à d'autres Espalionnais, les Assézat, Michel Trigosse nous a également fait découvrir les richesses que l'église d'Alayrac doit à ce riche marchand. L'historien nord-aveyronnais termine son triptyque en évoquant les rivalités qui opposent désormais les deux familles à Toulouse sur fond de guerre de religion.
Samedi 23 mars, Lassouts, autour de son maire, accueillait élus locaux et représentants de l'État pour découvrir l'église rénovée. C'est le préfet Charles Giusti qui a coupé le ruban.
Michel Trigosse, historien d'origine nord-aveyronnaise, nous emmène à la découverte de la réussite de quelques Espalionnais, les Delpech et les Assézat, en terre toulousaine, entre Moyen Age et Renaissance.
Michel Trigosse, historien d'origine nord-aveyronnaise, nous emmène à la découverte de la réussite de quelques Espalionnais, les Delpech et les Assézat, en terre toulousaine, entre Moyen Age et Renaissance.