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La Révolution, plutôt bien acceptée à ses débuts, a cristallisé contre elle de nombreux Français après l'exécution du roi, l'obligation faite au clergé de prêter serment, la levée en masse d'hommes pour faire la guerre et l'établissement de la Terreur. Parmi les régions rétives à l'ordre nouveau, le nord du Rouergue et l'Aubrac. Jean-Baptiste Pons de Caylus, dit Pons-Couffoulens, habitant Saint-Côme, sur les bords du Lot, a rejoint en Lozère la chouannerie de Charrier, notaire de Nasbinals et général de l'Armée Chrétienne du Midi.
La Révolution, plutôt bien acceptée à ses débuts, cristallise contre elle de nombreux Français après l'exécution du roi, l'obligation faite au clergé de prêter serment, la levée en masse d'hommes pour faire la guerre et l'établissement de la Terreur. Parmi les régions rétives à l'ordre nouveau, le nord du Rouergue et l'Aubrac. Jean-Baptiste Pons de Caylus, dit Pons-Couffoulens, habitant Saint-Côme, sur les bords du Lot, va basculer dans la chouannerie.
Aperçu de l'histoire du clergé à Saint-Côme, dont l'organisation était l'une des plus importante du Haut-Rouergue
Le 26 décembre 1851 se présentait, à la maison commune de Saint-Affrique, le marquis Marie Mathieu Michel de Curières de Castelnau, de vieille noblesse rouergate (remontant au XIIIe siècle) et avocat de profession, afin d’y déclarer la naissance de son fils — Noël Marie Joseph Edouard — survenue deux jours plus tôt en son domicile saint-affricain situé rue basse de la Grave (voie rebaptisée depuis en rue du Général de Castelnau). Cet enfant entrera dans l’histoire en tant que général Edouard de Curières de Castelnau, également connu sous le titre de vicomte de Curières de Castelnau. Mais avant d’évoquer toute la valeur déployée par ce général durant la Première Guerre mondiale, rappelons son parcours.
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