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Perchée sur son éperon rocheux dominant la vallée de l’Aveyron, Sévérac-le-Château, aujourd’hui intégré à la commune nouvelle de Sévérac-d’Aveyron, offre aux visiteurs un fascinant mélange d’histoire, d’architecture et de vie médiévale. Ancienne cité fortifiée, la ville a été un centre de pouvoir et de commerce dès le Moyen Âge, et ses rues pavées racontent encore aujourd’hui le quotidien des habitants d’autrefois.
Au confluent du Lot et de la Truyère, Entraygues-sur-Truyère se dévoile comme une ville façonnée par l’eau, le commerce et les hommes. Ce carrefour géographique, niché au pied du plateau de l’Aubrac est aussi un témoin vivant de l’histoire, où chaque pierre raconte les siècles passés.
Au fil des siècles, Saint-Geniez-d’Olt s’est imposée comme une étape majeure de la haute vallée du Lot, riche d’un patrimoine architectural et artistique remarquable. De ses hôtels particuliers aux fresques de sa chapelle des Augustins, en passant par l’église et le cloître, la petite ville témoigne d’une histoire dense où s’entremêlent spiritualité, art et héritage médiéval.
Porte Sud de l’Aubrac et passage millénaire sur le Lot, dont elle tient son nom, et qu’elle domine, la cité médiévale de Saint-Côme arbore fièrement le clocher flammé qui fait sa renommée. Ancienne résidence des seigneurs de Calmont, étape importante sur le Chemin de Compostelle, Saint-Côme abrite derrière ses anciens remparts un lacis de ruelles venu tout droit du XV siècle qui lui vaut de faire partie des Plus Beaux Villages de France [photo aérienne à découvrir en double page centrale].
Entre patrimoine médiéval, artisanat de la laine, fêtes populaires et musique, Villecomtal, cette “Petite Cité de Caractère”*, cultive son identité avec fierté. Une destination à taille humaine, où l’histoire dialogue avec la convivialité.
Haut lieu du pèlerinage médiéval et joyau de l’art roman, Conques mêle mysticisme, patrimoine et nature.
À l'approche de la fête de saint Fleuret, qui fait l'objet d'un culte particulier à Estaing, où une procession a lieu chaque année le premier dimanche de juillet, Pascal Cazottes s'est penché sur l'histoire et la légende du saint. Voici la première partie de cette histoire, qui en comptera deux autres, jusqu'au jeudi 3 juillet.
Alors que le loup refait parler de lui sur le Nord Aveyron (lire notre édition du 5 juin dernier), notre archiviste, aujourd'hui sous le pseudonyme de “Jean Lupus”, fait l'inventaire des apparitions de canis lupus dans l'arrondissement.
Son extension annoncée en 1971 a défrayé la chronique pendant 10 ans, mais son histoire est en général peu connue : Pascal Cazottes nous raconte le camp militaire du Larzac, dont la création fut initiée en 1898.
Son extension annoncée en 1971 a défrayé la chronique pendant 10 ans, mais son histoire est en général peu connue : Pascal Cazottes nous raconte le camp militaire du Larzac, dont la création fut initiée en 1898.
Nous nous penchons aujourd’hui sur le parcours et l’œuvre de Charles Ginisty, un Rouergat qui occupa le siège épiscopal de Verdun pendant près de 32 ans, soutint les soldats français, et surtout les blessés, tout au long de la Première Guerre mondiale, et fut, enfin, l’initiateur de l’ossuaire de Douaumont.
Ainsi qu’il a été évoqué dans le précédent épisode, la commanderie de Lacapelle-Livron avait l’aspect d’un manoir fortifié formant une sorte de quadrilatère avec cour intérieure. Aujourd’hui, il ne reste plus que deux ailes (affectées à l’habitation) et l’ancienne chapelle (devenue église paroissiale) dont une partie non négligeable de la construction est due aux Templiers.
Dans ce premier épisode consacré à la commanderie templière de Lacapelle-Livron, nous allons rappeler l’histoire de cette commanderie, qui vit le jour vers la fin du XIIe siècle en un endroit qui appartint au Quercy et qui dépend aujourd’hui du département du Tarn-et-Garonne. Ce n’est que dans le second épisode que nous nous attacherons à décrire ses bâtiments, nous attardant plus particulièrement sur l’ex-chapelle templière devenue, depuis, l’église paroissiale Saint-Sauveur.
Notre archiviste Jean Hier s'est penché, comme chaque année, sur les archives séculaires du Bulletin d’Espalion, du Journal de l’Aveyron et de l’Echo d’Espalion. Voici donc une sélection d'informations parues durant le premier trimestre de l'année 1925.