Retrouvez les actualités du Magazine avec le Bulletin d'Espalion | Page 14
Le coin du libraire par François Puech, libraire à Nasbinals : “Mes pas dans leurs ombres”, de Lionel Duroy.
Dans l’épisode précédent, nous avons vu que le comte de Rodez Henri II s’était révélé être un bâtisseur, ayant doté la cité d’Entraygues d’un magnifique pont gothique qui permet encore aujourd’hui de passer au-dessus de la Truyère. Mais Henri II fut également à l’origine du château d’Entraygues dont les deux tours principales ont traversé les siècles pour parvenir jusqu’à nous. Ne se contentant pas de faire édifier des constructions, Henri II se montra aussi soucieux des intérêts des habitants d’Entraygues-sur-Truyère, leur ayant accordé une charte en 1292.
Le bourg d’Entraygues-sur-Truyère a un riche passé historique remontant très vraisemblablement à l’époque des Celtes. Mais c’est à partir du Xe siècle que le lieu prit la forme d’un castrum, sous l’impulsion de la puissante famille d’Entraygues. Cette dernière, cependant, fut supplantée petit à petit par les comtes de Rodez qui commencèrent à entrer en possession d’Entraygues-sur-Truyère dès le XIIe siècle avant d’en devenir les seuls maîtres au XIIIe siècle.
Nos abonnés voyagent, et le Bulletin aussi : cette fois-ci, votre hebdomadaire s'est glissée à la Fête du Jambon de Parme de Langhirano, dans une délégation epslaionnaise.
L’automne arrive, et avec lui, va commencer la meilleure saison pour la pêche des carnassiers. La pêche aux leurres commence à marquer le pas car elle a fini par créer une accoutumance. Aussi, la pêche au poisson mort manié connaît-elle une certaine réminiscence. Toutefois, pour pratiquer celle-ci, il est nécessaire de disposer de vifs frais. Dans ce cas, leur stockage et leur conservation est un problème auquel nous sommes confrontés.
Ces 16 et 17 septembre, les Journées Européennes du Patrimoine fêtent leur quarantième édition. Si forme et nom ont changé au fil des années, l’événement a gardé les mêmes objectifs : la mise en valeur et la découverte du patrimoine.
Le coin du libraire, par François Puech. Au cœur de la rentrée littéraire, votre libraire essaie de faire le tri entre les cinq cents livres sortis cet automne. Il y a les “grosses sorties” des auteurs bien connus, qui méritent encore ou non le ramdam qui est fait autour d’eux, les premiers romans survendus par les éditeurs et attachés de presse, les auteurs qui se regardent écrire, ceux qui écrivent trop de pages… Mais il y a aussi de très bons livres !
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, entre l’automne 1946 et l’été 1947, un brigand cagoulé et armé d’un pistolet-mitrailleur britannique (le fameux Sten) sévit dans un territoire bien déterminé, une espèce de triangle dont les trois extrémités reliaient Estaing au Nayrac, puis Le Nayrac à Sénergues et, enfin, Sénergues à Estaing, ledit triangle ayant une aire d’environ 50 km2.
Nos abonnés voyagent, et le Bulletin aussi : cette fois-ci, votre hebdomadaire a suivi Christophe Lamarre, Parisien-Saint-Cômois.
Aux premières notes, ce livre tinte comme un roman de terroir, mais la cloche des perdus est fêlée. Et si les démons sont dans le texte, il y a des merveilles dans l’écriture de cette “Petite fille”.
L’Académie nationale de Médecine définit l’éternuement comme «un phénomène réflexe se traduisant par une inspiration suivie d’une expiration forcée et brutale par le nez et la bouche». Il est dû, poursuit-elle, «à une stimulation des terminaisons nerveuses de la muqueuse nasale d’origine variable, mécanique, thermique, chimiques, allergique, inflammatoire».