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Sur la commune du Cayrol, à 7 kilomètres à peine d'Espalion, Bonneval semble perdue au bout du monde, sur un flanc de la profonde vallée de la boralde flaujagaise. Cette abbaye presque millénaire fait pourtant partie intégrante de la vie et de la mémoire collective de l'Espalionnais, principalement grâce au chocolat que les moniales y fabriquent depuis 140 ans. Malakoffs aux éclats de noisettes grillées, bouchées et bonbons pralinés, pâtes de fruits ou encore bouteilles à la liqueur sont entrés depuis longtemps dans le patrimoine nord-aveyronnais. Un patrimoine plus vivant et moderne que jamais que perpétuent les membres de l'Ordre cistercien de la stricte observance, anciennement appelés trappistes.
25.000 km, dont 19.000 en stop, le tout en 383 jours, avec un peu moins de dix euros chacun par jour, c'est une partie du bilan de la virée sud-américaine de Loïc et Léna.
À l'occasion du centenaire de l'armistice de 1918, Nono nous livre une chronique occitane en hommage au général de Castelnau, héros rouergat de la Grande Guerre.
Presqu’île entre les profondes vallées du Lot et de la Truyère, l’Aubrac est depuis le 23 mai dernier le 53e Parc Naturel Régional de France. À cheval sur les départements de l’Aveyron, du Cantal et de la Lozère, le haut plateau déploie des paysages d’origine volcanique qui déclenchent, comme l’écrit Julien Gracq, «un vertige horizontal». La départementale 52, en Lozère, à une encablure de l’Aveyron, offre les plus beaux panoramas de l’Aubrac, comparés aussi bien à la steppe mongole qu’aux landes écossaises.
Le 15 novembre dernier, je me lançai avec mon amie dans une aventure qui me tenait à coeur : découvrir en auto-stop ce continent mythique qu'est l'Amérique du Sud. Deux mois se sont maintenant écoulés, et déjà bon nombre de rencontres et de paysages magnifiques ont illuminé notre périple. Cette chronique a pour but de résumer ce voyage, durant lequel, même au milieu de la pampa d'Argentine, on retrouve la solidarité et les valeurs aveyronnaises.
Les éditions du Bulletin d'Espalion
Nous l'avons vu, le disque vinyle, sous les coups de boutoir de la cassette audio, puis du CD, disparaît des bacs en 1991. Il y est certes revenu depuis, mais de façon anecdotique, et aujourd'hui, les bacs sont de plus en plus virtuels, et c'est le disque compact, ex-futur support d'avenir, qui est sur la sellette ; son challenger, la musique dite “dématérialisée”, mp3 et “streaming” en tête, a révolutionné notre façon d'écouter la musique. Et de la posséder.
Il a révolutionné le monde de la musique et semblait indestructible, mais le disque compact (le Compact Disc) a peut-être vécu. Inventé par Philips et Sony à la fin des années 70, le CD avait pourtant rapidement supplanté la bonne vieille galette vinyle, qui dominait le marché de la musique depuis la Seconde Guerre mondiale. Depuis le début des années 2000, parallèlement à l'innovation technologique, les modes de stockage et d'écoute de musique n'ont cessé d'évoluer, jusqu'à la dématérialisation que représente le "streaming".
Petite histoire des supports musicaux modernes. Première partie par Olivier Migaud. Que serait une société sans musique ? Elle connaîtrait certainement un profond malaise. Alors, au fil du temps, plusieurs supports à la musique ont existé et se succédèrent.
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