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Bien que le territoire aveyronnais fût libéré de la présence de tout soldat allemand, les hommes du maquis Jean-Pierre étaient décidés à poursuivre la lutte et à bouter le “teuton” hors de France. Aussi, s’engagèrent-ils dans l’armée régulière française afin de contribuer à la capitulation du Troisième Reich, ce qui les conduira tout d’abord jusqu’en Alsace (après être passés par la Bourgogne) où les combats furent particulièrement violents.
La bûche de Noël, une tradition millénaire qui s'est transformé en dessert il y a un peu plus d'un siècle en France, et dont Pascal Cazottes nous raconte l'histoire
Dans ce deuxième épisode, nous allons voir Pierre Monteil résolu à créer son propre maquis et y parvenir enfin après bien des contretemps. Si le maquis “Jean-Pierre” fut sans doute l’un des derniers groupes de résistants à se constituer en Aveyron, il eut cependant plusieurs fois l’occasion de se distinguer dans des opérations (souvent à risque) dont certaines d’entre elles seront ci-après rappelées.
Quand on évoque le maquis «Jean-Pierre», d’Estaing, on ne peut pas faire autrement que de l’associer à celui qui en fut le fondateur : Pierre Monteil. Ce dernier, dont le courage, l’abnégation et la détermination firent de lui un grand homme de la Résistance.
Presque tous les Aveyronnais connaissent l'aventure de Pigüé, cette ville de la pampa argentine fondée au XIXe siècle par des colons aveyronnais. Le nom de son fondateur, Clément Cabanettes, est également connu, mais sait-on quel aventurier fut ce fils de paysans d'Ambec, entre Lassouts et Saint-Côme, dans le Nord Aveyron ? Portrait d'un personnage hors du commun.
Fondée au début du XIIe siècle par Adalard (ou Alard) d’Eyne, bouteiller (ou maître échanson) du comte de Flandre, la domerie (ou hôpital) d’Aubrac fut d’un grand secours aux pèlerins amenés à traverser les étendues sauvages de l’Aubrac. Mais, au fil des siècles, la domerie sut également se rendre indispensable en prêtant journellement assistance aux indigents et aux malades. Unique en son genre car totalement indépendante, la domerie d’Aubrac, après avoir connu les vicissitudes de l’Histoire, cessera toutefois toute activité au moment de la Révolution qui lui fut fatale.
Derrière sa façade massive et quelque peu austère, l'église de Saint-Martial de Rieupeyroux révèle un intérieur doté de beaux éléments architecturaux : voûtes d’ogives, coupole octogonale et chapiteaux rescapés de sa période romane. À cette église est également attachée une bien curieuse légende, mettant en scène le géant Gargantua...
Situé sur le plateau de l’Aubrac, dans sa partie lozérienne, le village de Nasbinals peut s’enorgueillir de posséder une très belle église à la fois romane et gothique dont les premières constructions remontent au XIe siècle.
L’église de Laguiole est dédiée à saint Matthieu, celui qui fut le douzième apôtre appelé par Jésus et à qui l’on attribue généralement l’écriture d’un des quatre évangiles canoniques. Cette église, édifiée au XVIe siècle, possède un magnifique portail d’entrée en basalte rappelant l’Annonciation, une remarquable Pietà du XVe siècle et une très étonnante sculpture d’homme sauvage velu...
La chaire de l'église paroissiale, dont la silhouette est familière à tous les Saint-Cômois, est d'un style un peu particulier : alors que ce type de mobilier est habituellement en bois, celle-ci est en pierre. Elle provient d'une tour d'angle ruinée du château de Roquelaure.
Aujourd’hui, nous nous penchons sur l’église Saint-Pierre et Saint-Paul de Toulongergues, un édifice préroman sis sur le territoire de la commune de Villeneuve d’Aveyron. Ce monument, à la riche histoire, possède quelques vestiges de fresques assurément dignes d’intérêt.
C’est à Bozouls, plus précisément au manoir de Peyrolles, que Jean Joseph Passelac vit le jour, en 1773. Il y a un peu plus d'un, la pose d’une plaque sur sa tombe au cimetière de Bozouls a donné l'occasion de sortir de l'oubli cet officier ayant combattu aux temps de la Révolution et du Premier Empire.
C'est une tradition aujourd'hui presque perdue, et dont on ne trouve la trace que dans quelques paroisses riveraines du vieil Olt : la “Ventes des âmes”, ou “Poule un” à Sainte-Eulalie d'Olt. Une vente aux enchères dont le bénéfice servait à dire des messes pour les âmes du purgatoire.
L'église romane de Saint-Urcize abrite une collection d'objets du culte de la confrérie des Pénitents Blancs.