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Maladie de Parkinson. De Mur-de-Barrez à Rodez, le message d’espoir d’une religieuse

Actualité. Sœur Marie-Madeleine (Gisèle Calmels, de son nom civil) est religieuse depuis 1957, date de son noviciat à la congrégation des sœurs de Saint-François d’Assise*, rue Peyrot, à Rodez. Aujourd’hui âgé de 87 ans, cette sœur franciscaine a accepté de porter témoignage au sujet de la maladie de Parkinson qui l’affecte depuis plus de 16 ans.

Maladie de Parkinson. De Mur-de-Barrez à Rodez, le message d’espoir d’une religieuse
Sœur Marie-Madeleine dans le parc de la congrégation franciscaine, à Rodez. 
Une vie toute dévouée aux autres… et une maladie pour en comprendre le sens.

Maladie de Parkinson

Pourquoi avez-vous choisi cette congrégation religieuse ?

«Après des études d’infirmière et plusieurs stages en clinique, j’ai pu exercer ma vocation au domicile des personnes. Si j’ai choisi cette congrégation, c’est parce que, parmi ses missions, elle a toujours été sensible à l’accompagnement des personnes en fin de vie. La simplicité, la joie, l’attention à la personne dans le respect, l’entraide, la proximité, tout cela m’a ouvert une fenêtre chez Saint-François d’Assise ! J’avais d’ailleurs fait un stage d’un mois à...

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