L’Ukraine manque cruellement de médicaments comme de dispositifs médicaux pour soigner les blessés et les réfugiés. Afin d’aider les victimes de cette crise humanitaire majeure, il est donc légitime de tout mettre en œuvre pour leur faire parvenir ce dont ils manquent cruellement. Toutefois, «la complexité de la législation sur les médicaments, interdisant les dons en nature de médicaments, ainsi que les difficultés de mise en place de filières de collectes de matériel médical nous conduisent à privilégier, dans un premier temps, les dons d’argent», note l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine.Les pharmacies comme les particuliers peuvent donc participer à cet effort via des dons. Plusieurs possibilités s’offrent à vous :— «De nombreuses associations humanitaires disposent de pharmaciens permanents et sont habituées aux approvisionnements pharmaceutiques en situations de crise telles que Médecins sans frontières, Médecins du monde, Action contre la faim, La Croix Rouge française, Première urgence internationale…», conseille l’Ordre national des pharmaciens. Vous pouvez faire des dons à ces ONG ;— Vous pouvez aussi faire un don auprès de l’association Pharmacie humanitaire internationale (PHI). Pour l’opération “Urgence Ukraine”, rendez-vous sur la plateforme HelloAsso ou envoyez un chèque à l’adresse : PHI, 534 Avenue Jean Giraudoux, 18200 St-Amand-Montrond ;L’association Tulipe soutient les opérateurs intervenant sur la situation en Ukraine et les pays limitrophes au travers d’un apport de médicaments. Si vous souhaitez effectuer un don, vous pouvez vous rendre directement sur https://tulipe.org/dons-medicaments-ukraine/— Enfin, la protection civile et l’association des maires de France organisent des collectes de produits d’hygiène ou de matériel médical dans plusieurs départements. Renseignez-vous auprès de la protection civile de votre département ou auprès de votre Mairie.
Santé. Ukraine : pénurie de médicaments, comment aider ?
Santé.
Publié le 17/03/2022 à 00h00
-
06h31Natura 2000. Le site des Gorges de la Truyère
-
06h31Les “gros mots” de Jean-Paul Pelras. Le fauteuil
-
06h31Première visite ministérielle. La ministre du Travail sensible
-
06h31SYDOM Aveyron. Les cinq gagnantes du jeu concours sur le verre récompensées
-
06h31Cercle Généalogique du Rouergue. “Les Levezou dans la nuit des temps”
-
06h30Patrimòni. Le premier numéro de 2025 est disponible
-
09/01Les “gros mots” de Jean-Paul Pelras. Exclusion !
-
09/01Vœux 2025. Jean-Claude Anglars : «Une année de volonté partagée et d’initiatives conjuguées»
-
09/01Vœux 2025. Stéphane Mazars : «En 2025, garder le sens des responsabilités»
-
09/0115 Festival du livre et des auteurs. Une édition en écho au devoir de mémoire
-
09/01Vœux 2025. Alain Marc :
-
09/01Vœux 2025. Arnaud Viala :«Il ne faut jamais céder au pessimisme et à la fuite»
-
09/01Marché aux bestiaux . Réunion d'information le 16 janvier pour une évolution inédite
-
09/01Prix littéraire de l'Hermine. La littérature pour tous et sur un Plateau
-
09/01Attractivité. Bozouls serait-il le “centre du Monde” ?
-
09/01Transport. La ligne de bus vers Clermont-Ferrand trouve son public
-
02/01Un jour à Espalion. C’était hier : l'année 1925
-
02/01Politique II. Bayrou piégé
-
02/01Politique I. Un peu de temps pour le gouvernement
-
02/01Tradition. Déjà les galettes des Rois
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.