L’habitacle tangue au rythme des basses diffusées par l’enceinte. La musique est régulièrement ponctuée par le sifflement d’un train. Mais en ce jeudi 15 septembre, pas de locomotive à vapeur, seulement le Bès qui zigzague entre les pâturages de l’Aubrac. Arrivé à destination, Jean-Pierre Montiel coupe le moteur et décroche. «Tu as de la chance, c’est un miracle que je capte ici», s’étonne l’ancien reporter photographe. Devant la ferme de...
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